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L’ombre d’un cycle, 2018, 60 cm de diamètre sur 300 cm de haut, pot de fleurs, béton, terre, ampoule 150W, tasseau, objets divers, ombrelle en bois et en tissus blancs.
Sous une ombrelle en tissu blanc, le spectateur fait face à un plateau tournant. Il est divisé en quatre natures mortes faites d’objets cueillis au grès du hasard. Ces maquettes, éclairées par le dessous, tracent des paysages mobiles au dessus de nos têtes. Ce récit de voyage sorti d’un pot de fleurs est étrange, autant que de mettre oiseau en cage, ou une plante en intérieur.
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